Manzi

COUPS DE PROJO SUR LEU TEMPO

COUPS DE PROJO SUR LEU TEMPO

Tout le monde le sait : Leu Tempo et Bongou c’est trop des BFF. Malgré notre longue relation, j’ai beau connaître ses défectuosités, je préfère toujours mettre en avant ses qualités. Et cette édition propose franchement du bon.

AUTANT EN EXHORTE LE VENT

AUTANT EN EXHORTE LE VENT

Vendredi, c’était la première de « Souffle » au Théâtre Luc Donat, le dernier volet de la trilogie de Soraya Thomas, une plongée chorégraphique dans l’œil du cyclone questionnant l’intime et les liens du clan quand tout se déchaîne autour. Voyons voir si Manzi a été inspiré par « cette respiration offerte, ce temps de communion partagée entre les danseurs, l’espace et les spectateurs ». Retour sur l’œil du cyclone par l’œil de ce clown avec un seul objectif en ligne de mire : vous encourager à venir apprécier ce spectacle.

CHÉRIE, ÇA VA TRANCHER

CHÉRIE, ÇA VA TRANCHER

Ce n’est pas tous les quatre matins qu’une auteure vivant sur l’île depuis 20 ans, voit son œuvre publiée dans une maison d’édition hexagonale, Viviane Hamy Éditions. C’est encore plus inouï quand cette femme de lettres est une amie (coucou Zerbi) et on tape carrément dans l’extraordinaire quand tu dois admettre que tu as dévoré son thriller. Priya, la fille du boucher de Marie Capron est un accrolivre qui devrait ravir tous les inconditionnels du genre.

GROS SUCCÈS POUR CE SUCCÉDANÉ

GROS SUCCÈS POUR CE SUCCÉDANÉ

Le festival Leu Tempo, tu te rappelles ? Cette aire de restauration à ciel ouvert, sa procession braillarde, ses places farcies d’enfants non masqués et émerveillés, ces parents extatiques applaudissant sans gel hydroalcoolique et souvent de petites perles de théâtre d’objets, comme le touchant Ma biche et mon lapin du collectif Aïe Aïe Aïe. La pandémie a retardé le plaisir de retrouver cette compagnie pour l’une de ses nouvelles créations Ersatz mais plus longue fut l’attente, plus savoureux fut le succédané.

LADANIVA, PURA VIDA, PURA DIVA

LADANIVA, PURA VIDA, PURA DIVA

Samedi soir, le ciel saint gillois déployait ses rougeoiements van goghéens, les rangées bétonnées du Téat Plein Air étaient littéralement brûlantes (t’as rien senti car t’avais apporté ton coussin… vieux, ne m’adresse plus la parole steup) et Jacqueline Baghdasaryan a brillé de mille feux.