BANKO est un vrai-faux cours de théâtre, mené par Solange, enseignante passionnée qui embarque ses élèves dans l’aventure de l’écriture théâtrale. Dans ce dialogue pédagogique, qui glissera doucement vers une mise en abyme loufoque, c’est la relation entre la professeure et ses élèves qui est questionnée : qui mène la danse ? Est-il possible d’écrire collectivement du théâtre ? Pourquoi et comment ?

Sak i di Molière est un spectacle composite où Molière est la source d’inspiration pour les auteurs, autrices et interprètes de La Réunion. Inspiré du théâtre forain, M. Loyal présente 4 personnages qui joueront leurs créations inspirées des oeuvres ou de la vie de Molière dans 3 décors différents pour un public qui déambulera entre chaque scène.

Rêvant au jour où une vaillante et fière princesse tomberait amoureuse de lui ? C’est en s’emparant d’un classique, dont elle renverse les points de vue avec malice, que la metteuse en scène Muriel Imbach s’attaque à une question des plus contemporaines : les stéréotypes de genre. Muni·es de casques audio, les enfants sont invité·es à une autre écoute des contes à travers une expérience immersive. Un espace où l’art de la suggestion est roi. Et les idées, larges, n’ont ni envers ni endroit.

Et si Blanche-Neige était un homme ? Cela changerait-il quelque chose ? En s’emparant d’un classique dont elle renverse les points de vue avec malice, la metteuse en scène suisse Muriel Imbach se saisit d'une question des plus contemporaines : les stéréotypes de genre. Munis de casques audio, les enfants sont invités à revisiter le conte de Grimm à travers une expérience à la fois immersive et interactive.

Sak i di Molière est un spectacle composite où Molière est la source d’inspiration pour les auteurs, autrices et interprètes de La Réunion. Inspiré du théâtre forain, M. Loyal présente 4 personnages qui joueront leurs créations inspirées des oeuvres ou de la vie de Molière dans 3 décors différents pour un public qui déambulera entre chaque scène.

Un texte à déchaîner les rêves les plus fous, une référence à démultiplier les mises en scène. Mais ce mythe littéraire autorise aussi une grande liberté d’approche et d’appropriation : qu’il devienne le tremplin d’un délire verbal ou le miroir d’un brio caricatural, il reste une source d’inspiration fabuleuse. Jean-Luc Malet s’en empare et le refaçonne à l’aune de son talent bien connu de nos théâtres.

L’histoire se déroule dans un huis-clos où cinq personnages, rongés par un sentiment d’injustice, ont comploté puis assassiné une personnalité importante. Pour échapper à la justice de leur pays, ils doivent décider qui se dénoncera aux autorités, laissant aux quatre autres une chance de s’en sortir. Le groupe n’est pas dupe : pour la personne qui sera désignée, ce sera la peine capitale. Ils ont décidé que ce serait par le vote que cette désignation se fera.

Et si Blanche-Neige était un homme ? Cela changerait-il quelque chose ? En s’emparant d’un classique dont elle renverse les points de vue avec malice, la metteuse en scène suisse Muriel Imbach se saisit d'une question des plus contemporaines : les stéréotypes de genre. Munis de casques audio, les enfants sont invités à revisiter le conte de Grimm à travers une expérience à la fois immersive et interactive. Une princesse qui vient en sauveuse et terrasse les dragons, un beau-père tyrannique…

D’après l’oeuvre de Svetlana Alexievitch « La supplication Tchernobyl, chronique du monde après l’apocalypse ». Prix Nobel de littérature. L’autrice a interviewé les survivants de Tchernobyl et s’interroge elle-même, sa vie faisant partie de l’évènement dans un pays qui n’est plus une terre, mais un laboratoire.

Depuis 2005, entre Paris, Antananarivo et La Réunion, le Théâtre Vollard explore un art lyrique populaire qui donne toute sa place au rythme ternaire, sur des livrets locaux : Maraina et les premiers habitants de La Réunion, Chin et un conflit sucrier en 1955, Fridom et la célèbre radio libre. Dans un spectacle sous-titré d’1h30, dans un décor minimal agrémenté de projections vidéos, sous la direction musicale de Jean-Luc Trulès, Emmanuel Genvrin met en scène les meilleurs extraits des trois œuvres.

Et si Blanche-Neige était un homme ? Cela changerait-il quelque chose ? En s’emparant d’un classique dont elle renverse les points de vue avec malice, la metteuse en scène suisse Muriel Imbach se saisit d'une question des plus contemporaines : les stéréotypes de genre. Munis de casques audio, les enfants sont invités à revisiter le conte de Grimm à travers une expérience à la fois immersive et interactive. Une princesse qui vient en sauveuse et terrasse les dragons, un beau-père tyrannique…

D’après l’oeuvre de Svetlana Alexievitch « La supplication Tchernobyl, chronique du monde après l’apocalypse ». Prix Nobel de littérature. L’autrice a interviewé les survivants de Tchernobyl et s’interroge elle-même, sa vie faisant partie de l’évènement dans un pays qui n’est plus une terre, mais un laboratoire.

Lectur'Zélectric est le fruit de la rencontre entre une femme à textes et un homme à cordes.
C’est une exploration du jeu sonore qui s’établit entre une écriture et le son d’une guitare électrique.
Le jeu entre la comédienne et le musicien révèle ici toute l’acidité drôle et parfois grinçante des portraits hauts en couleurs de personnages qui se racontent leur quotidien.

Avec toute sa sensibilité, Tiago Rodrigues, directeur du Festival d'Avignon, se fait ici auteur et metteur en scène pour raconter le quotidien d'humanitaires en zones de conflit. À la violence du monde, l'artiste portugais oppose la résilience et l'humour de celles et ceux qui chaque jour risquent leur vie pour aider, soigner et sauver celle des autres. Il s’est pour cela ancré dans les réalités de ce métier à hauts risques en partant à la rencontre d'employés du Comité international de la Croix-Rouge (CICR) et de MSF - Médecins sans frontières. Inspiré par leurs témoignages, ce spectacle multilingue expose les dilemmes de ces êtres qui naviguent entre des lieux brûlants et de paisibles retour au pays.

Un moment qui vous est consacré, l’occasion de s’essayer à la scène, de crier, déclamer, chanter, dire, au son de votre voix ou de quelques instruments. Venez apprécier, vous exprimer, partager un coup de cœur, de gueule, un fonnkèr, un son ou une chanson, devant le public généreux et bienveillant du Bisik dès 19h. Artistes de l’est et d’ailleurs, pensez à vous inscrire (bertrand@bisik.re) et soyez les bienvenus ! A vous de jouer !

Avec toute sa sensibilité, Tiago Rodrigues, directeur du Festival d'Avignon, se fait ici auteur et metteur en scène pour raconter le quotidien d'humanitaires en zones de conflit. À la violence du monde, l'artiste portugais oppose la résilience et l'humour de celles et ceux qui chaque jour risquent leur vie pour aider, soigner et sauver celle des autres. Il s’est pour cela ancré dans les réalités de ce métier à hauts risques en partant à la rencontre d'employés du Comité international de la Croix-Rouge (CICR) et de MSF - Médecins sans frontières. Inspiré par leurs témoignages, ce spectacle multilingue expose les dilemmes de ces êtres qui naviguent entre des lieux brûlants et de paisibles retour au pays.

Sergio Grondin revient avec un nouveau projet d’exploration documentaire autour des traumas de la séparation et de ce qui fait réparation. Entre douleur intime d’une famille éclatée et sidération face à un scandale d’état, l’excellent comédien, conteur réunionnais à l'écriture dense, foisonnante, s’approche au plus près des deux tragédies historiques trop longtemps passées sous silence.

COUP DE COEUR BONGOU

Un crime a été commis, particulièrement sanglant. Qui est le coupable ? Et pour quel mobile ? La scène renvoie à bien des suspicions contraires, toujours incertaines. Et les cartes se rebattent, elles sont redistribuées, encore et encore. Le plateau s’ouvre en laboratoire d’innovations étonnantes. Les personnages se livrent tour à tour, multipliant les mensonges comme en toute vérité.

Avec toute sa sensibilité, Tiago Rodrigues, directeur du Festival d'Avignon, se fait ici auteur et metteur en scène pour raconter le quotidien d'humanitaires en zones de conflit. À la violence du monde, l'artiste portugais oppose la résilience et l'humour de celles et ceux qui chaque jour risquent leur vie pour aider, soigner et sauver celle des autres. Il s’est pour cela ancré dans les réalités de ce métier à hauts risques en partant à la rencontre d'employés du Comité international de la Croix-Rouge (CICR) et de MSF - Médecins sans frontières. Inspiré par leurs témoignages, ce spectacle multilingue expose les dilemmes de ces êtres qui naviguent entre des lieux brûlants et de paisibles retour au pays.

Dans la plus vieille ville des Pays-des-Guerres, au lendemain de la dernière des dernières guerres, il n’y a plus rien à détruire. Un soir entre Soleil et Lune, Oldo rencontre Nama. Les deux enfants se verront chaque jour qui suivra, leurs jeux bâtiront leurs rêves et leurs dessins, les plans d’une ville nouvelle. À travers un dispositif hybride, déambulatoire, théâtral et plastique, les auteurs souhaitent transmettre le plaisir des mots, le désir de lire, l’audace de dire mais aussi l’importance de s’engager.

Dans la plus vieille ville des Pays-des-Guerres, au lendemain de la dernière des dernières guerres, il n’y a plus rien à détruire. Un soir entre Soleil et Lune, Oldo rencontre Nama. Les deux enfants se verront chaque jour qui suivra, leurs jeux bâtiront leurs rêves et leurs dessins, les plans d’une ville nouvelle. À travers un dispositif hybride, déambulatoire, théâtral et plastique, les auteurs souhaitent transmettre le plaisir des mots, le désir de lire, l’audace de dire mais aussi l’importance de s’engager.

L’histoire se déroule dans un huis clos où cinq personnages, rongés par un sentiment d’injustice, ont comploté puis assassiné une personnalité importante. Pour échapper à la justice de leur pays, ils·elles doivent décider qui se dénoncera aux autorités, laissant aux quatre autres, une chance de s’en sortir. Le groupe n’est pas dupe, pour celui ou celle qui sera désigné·e : ce sera la peine capitale. Ils·elles l’ont décidé·e·s, c’est par le vote que cette désignation se fera.

L’histoire se déroule dans un huis clos où cinq personnages, rongés par un sentiment d’injustice, ont comploté puis assassiné une personnalité importante. Pour échapper à la justice de leur pays, ils·elles doivent décider qui se dénoncera aux autorités, laissant aux quatre autres, une chance de s’en sortir. Le groupe n’est pas dupe, pour celui ou celle qui sera désigné·e : ce sera la peine capitale. Ils·elles l’ont décidé·e·s, c’est par le vote que cette désignation se fera.

Vous êtes chaque année plus nombreux.ses à remplir les gradins de cette soirée impossible à décrire à l’avance. Sur le papier, des duos inédits : Virginie Le Flaouter, la voltigeuse de Cirquons Flex, et Danyèl Waro, le zarboutan du maloya ; Édith Château, la chorégraphe de danse contemporaine, et Sébastien Deroi, le clown-comédien-marionnettiste ; la plasticienne Alice Aucuit et Éric Lauret, le one-man showman touche-à-tout.

L’histoire se déroule dans un huis clos où cinq personnages, rongés par un sentiment d’injustice, ont comploté puis assassiné une personnalité importante. Pour échapper à la justice de leur pays, ils·elles doivent décider qui se dénoncera aux autorités, laissant aux quatre autres, une chance de s’en sortir. Le groupe n’est pas dupe, pour celui ou celle qui sera désigné·e : ce sera la peine capitale. Ils·elles l’ont décidé·e·s, c’est par le vote que cette désignation se fera.

L’histoire se déroule dans un huis clos où cinq personnages, rongés par un sentiment d’injustice, ont comploté puis assassiné une personnalité importante. Pour échapper à la justice de leur pays, ils·elles doivent décider qui se dénoncera aux autorités, laissant aux quatre autres, une chance de s’en sortir. Le groupe n’est pas dupe, pour celui ou celle qui sera désigné·e : ce sera la peine capitale. Ils·elles l’ont décidé·e·s, c’est par le vote que cette désignation se fera.

L’histoire se déroule dans un huis clos où cinq personnages, rongés par un sentiment d’injustice, ont comploté puis assassiné une personnalité importante. Pour échapper à la justice de leur pays, ils·elles doivent décider qui se dénoncera aux autorités, laissant aux quatre autres, une chance de s’en sortir. Le groupe n’est pas dupe, pour celui ou celle qui sera désigné·e : ce sera la peine capitale. Ils·elles l’ont décidé·e·s, c’est par le vote que cette désignation se fera.