Vendredi 26 février, au Fanal, avait lieu la troisième et dernière représentation de No Man’s Land à La Réunion. Cette pièce chorégraphique de la compagnie Paul Les Oiseaux méritait bien un battement d’ailes de notre choucas Manzi.
MOI, BAUSCH ET TOUCHANT
En creusant sa propre vie, son passé, sa vie de couple, sa crise de la quarantaine anticipée, l’hommage à la danse-théâtre inventée par Pina Bausch est mené tambour battant et fumant. Côté musique, c’est l’éclectisme total. Les multiples escapades sonores rythment la narration et les gestuelles ont la part belle, notamment sur cet entraînant morceau chanté en allemand avec des mouvements fluides, nerveux et ce récurrent ballet autour des cheveux.