Toute la presse culturellement recommandable a présenté “We love arabs” comme une torpille anti-raciste et un manifeste hilarant contre la bien-pensance des milieux de la danse. Ce postulat d'autodérision a fait saliver Bongou mais cette farce irrévérencieuse m'a vite irrité et je sors mon courroux.
LE BRUIT DES OMBRES
C'est l'histoire d'un mec qui se sent très seul. Seul avec ses cartons remplis de souvenirs d'enfance, seul avec ses fantasmes, seul avec ses névroses, seul à emménager dans une vie qu'il a grand besoin de meubler. Alors il se raconte des histoires. Chaque objet manipulé ouvre une porte vers un manque à combler.
SPECTRES AU BÛCHER ?
PLATEL SOUS LE BISTOURI DE MANZI ET ZERBI
FONTANO : LE TRAGIQUE DANS LA PEAU
Je souffre, tu souffres, il souffre. Verbe du troisième groupe, atemporel et universel. Mais que faire de cette douleur. Comment colmater sa faille intérieure. Certains boivent, d'autres chérissent les schémas de répétition. Fontano, lui, écrit des fictions. Loin des hommes est une œuvre au noir. Encore.