Comme annoncé, cette édition du Leu Tempo Festival était particulièrement réussie avec des scènes éclatées proposant des shows -évènements (Exit de la Cie Inextrémiste), des échappées hors du temps (Les siestes musicales, Lulu’s Paradise), des cabarets déroutants (Azul, Cabaret Crida/Lubat) et du cirque tonitruant (Insomnia, Extrémités). Comme le théâtre d’objets n’était pas présent, Bongou est allé chercher son salut dans l’autre fondement de cet événement : le théâtre de rue. Retour sur ce moment de grâce : Symphonie pour klaxons et essuie-glaces.