Samedi, Bongou poursuivait sa chevauchée dansée avec l’épopée saharienne Nomad, du chorégraphe belge Sidi Larbi Cherkaoui. La salle bondée et les applaudissements frénétiques ont confirmé que l’œuvre plait. Pourtant un spectateur nous a écrit sa traversée du désert. Comme Bongou adore les contestataires, nous allons disséquer son argumentaire.