Le IOMMA c’est aussi l’occasion de voir des showcases sympas pour le spectateur lambda
Spectacle total – totalement libre, totalement beau !
Figurez-vous un speakeasy créole dans la touffeur portoise, un cabaret interlope, mi-salle de boxe, mi-bar louche. Le Paradox. Et au centre de cet espace rêvé, placez une femme qui refuse de choisir.
Le sport de combat, l’art, la mode, l’entertainment, le séga, la sono mondiale, le stand up, la kanyarsité, la tendresse, la malice et la sincérité, la pop et le popu : Tine Poppy ne se refuse rien ! C’est ce qui fait la force et l’énergie de cette affranchie dont la fraicheur invente un nouvel imaginaire pour la culture créole, moderne et assumé.
Une mythologie urbaine et féminine contemporaine, complexe et drôle, qu’explore simplement et amoureusement cette jeune femme dont les contrastes se déclinent en chanson, en monologues, en gestes, en vêtements.
Spectacle total – totalement libre, totalement beau !
Figurez-vous un speakeasy créole dans la touffeur portoise, un cabaret interlope, mi-salle de boxe, mi-bar louche. Le Paradox. Et au centre de cet espace rêvé, placez une femme qui refuse de choisir.
Le sport de combat, l’art, la mode, l’entertainment, le séga, la sono mondiale, le stand up, la kanyarsité, la tendresse, la malice et la sincérité, la pop et le popu : Tine Poppy ne se refuse rien ! C’est ce qui fait la force et l’énergie de cette affranchie dont la fraicheur invente un nouvel imaginaire pour la culture créole, moderne et assumé.
Une mythologie urbaine et féminine contemporaine, complexe et drôle, qu’explore simplement et amoureusement cette jeune femme dont les contrastes se déclinent en chanson, en monologues, en gestes, en vêtements.
Spectacle total – totalement libre, totalement beau !
Figurez-vous un speakeasy créole dans la touffeur portoise, un cabaret interlope, mi-salle de boxe, mi-bar louche. Le Paradox. Et au centre de cet espace rêvé, placez une femme qui refuse de choisir.
Le sport de combat, l’art, la mode, l’entertainment, le séga, la sono mondiale, le stand up, la kanyarsité, la tendresse, la malice et la sincérité, la pop et le popu : Tine Poppy ne se refuse rien ! C’est ce qui fait la force et l’énergie de cette affranchie dont la fraicheur invente un nouvel imaginaire pour la culture créole, moderne et assumé.
Une mythologie urbaine et féminine contemporaine, complexe et drôle, qu’explore simplement et amoureusement cette jeune femme dont les contrastes se déclinent en chanson, en monologues, en gestes, en vêtements.
Tine Poppy, quel beau choix de programmation de la salle Georges Brassens aux Avirons pour lancer sa saison. Voilà une artiste qui fait consensus chez Bongou alors, amis sudistes, sortez de chez vous.
L’avis de Zerbinette:”Tine Poppy maitrise à fond les codes de l’autodérision. Elle exploite avec intelligence son statut de nobody propulsée dans la sphère Paradis. Livre avec candeur sa stupeur de fille de planteur d’ananas qui n’en revient pas d’être là. À ceci prés que son talent scénique, vocal et musical dément toute usurpation.”
L’avis du Manzi: “Si elle s’amuse à bousculer ses codes, l’âme du séga n’est jamais altérée et l’esprit festif demeure. Les morceaux aux influences dub fonctionnent à merveille et quelle malicieuse idée de vanter son amour du séga sur un morceau plus proche de la bossa nova. La fusion des styles musicaux n’est jamais boursouflée, les échappées sont finement intégrées au rythme ternaire chaloupé et toutes les chansons demeurent des invitations à bouger.”
Première partie : Olivier Cadet à 18h30 et Tine Poppy vers 19h30
