Sur scène, dans une version épurée et plus courte, le dramaturge revient à l’essentiel et présente deux paroles qui s’entrechoquent et s’interrogent sur les thèmes de l’amour, du sacrifice et de la peur. La pièce créée en 2021 se ré-invente aujourd’hui entièrement et s’offre au public pour une toute nouvelle écoute.

Le spectacle « Et puis ils ont dit… Rideau ! » se veut être une expérience théâtrale dans le sens le plus pur du terme. Ici, est proposé au spectateur de rencontrer l’acte théâtral dans ce qu’il a de plus intime. En écrivant cette proposition, je voulais me lancer dans le méta-théâtre. Créer un espace où tour à tour, le spectateur est visiteur, acteur mais aussi créateur.

"Après la guerre, deux enfants essayent de se reconstruire, la victime et l’assassin. Ils ne sont pas égaux dans la douleur, ni dans la folie. Ils ne sont pas de la même ethnie, mais de la même rage. Après le feu est une plongée en eaux profondes. Une plongée en apnée, dans l’horreur.

"Après la guerre, deux enfants essayent de se reconstruire, la victime et l’assassin. Ils ne sont pas égaux dans la douleur, ni dans la folie. Ils ne sont pas de la même ethnie, mais de la même rage. Après le feu est une plongée en eaux profondes. Une plongée en apnée, dans l’horreur.

Une visite poétique orchestrée par Vincent Fontano, de cette maison que l’on appelle théâtre… Sollicité par l’équipe des TÉAT pour mettre en scène une visite guidée des coulisses de Champ Fleuri, le tragédien nouvelle vague Vincent Fontano s’empare de ce prétexte pour proposer à un petit groupe de spectateurs une déambulation philosophique et symbolique dans l’histoire et le sens du théâtre.

Une visite poétique orchestrée par Vincent Fontano, de cette maison que l’on appelle théâtre… Sollicité par l’équipe des TÉAT pour mettre en scène une visite guidée des coulisses de Champ Fleuri, le tragédien nouvelle vague Vincent Fontano s’empare de ce prétexte pour proposer à un petit groupe de spectateurs une déambulation philosophique et symbolique dans l’histoire et le sens du théâtre.

Une visite poétique orchestrée par Vincent Fontano, de cette maison que l’on appelle théâtre… Sollicité par l’équipe des TÉAT pour mettre en scène une visite guidée des coulisses de Champ Fleuri, le tragédien nouvelle vague Vincent Fontano s’empare de ce prétexte pour proposer à un petit groupe de spectateurs une déambulation philosophique et symbolique dans l’histoire et le sens du théâtre.

"Après le feu" nous entraîne dans les décombres d’un monde ravagé par la guerre, canevas rwandais pour une fresque universelle peinte au sang et aux larmes. La nouvelle création de Vincent Fontano, enfin !

L’incandescent Vincent Fontano déclenche un nouvel incendie sur les planches de Champ Fleuri. Début 2021, le public avait déjà été bouleversé par la présentation d’une étape de travail, riche de promesses, mais n’avait, hélas, pas pu assister à la création de la pièce. C’est dire si cet évènement est attendu !

"Après le feu" nous entraîne dans les décombres d’un monde ravagé par la guerre, canevas rwandais pour une fresque universelle peinte au sang et aux larmes. La nouvelle création de Vincent Fontano, enfin !

L’incandescent Vincent Fontano déclenche un nouvel incendie sur les planches de Champ Fleuri. Début 2021, le public avait déjà été bouleversé par la présentation d’une étape de travail, riche de promesses, mais n’avait, hélas, pas pu assister à la création de la pièce. C’est dire si cet évènement est attendu !

"Après le feu" nous entraîne dans les décombres d’un monde ravagé par la guerre, canevas rwandais pour une fresque universelle peinte au sang et aux larmes. La nouvelle création de Vincent Fontano, enfin !

L’incandescent Vincent Fontano déclenche un nouvel incendie sur les planches de Champ Fleuri. Début 2021, le public avait déjà été bouleversé par la présentation d’une étape de travail, riche de promesses, mais n’avait, hélas, pas pu assister à la création de la pièce. C’est dire si cet évènement est attendu !

Programmer deux spectacles - un concert d’électro suivi d’une pièce de théâtre pour le prix d’un seul billet - en pleine semaine, quelle drôle d’idée… bah non vu que le lendemain c’est férié et que Zerbinette avait adoré cette pièce torturée: “Je souffre, tu souffres, il souffre. Verbe du troisième groupe, atemporel et universel. Mais que faire de cette douleur. Comment colmater sa faille intérieure. Certains boivent, d'autres chérissent les schémas de répétition. Fontano, lui, écrit des fictions. Loin des hommes est une œuvre au noir. Encore. L'histoire d'une faille personnelle gravée dans la dramaturgie universelle. Un torrent de mots, pour pêcheurs en quête de rédemption. Une terrible ablution.”