“Le clown Pa vit dans un monde où le temps est suspendu, pourtant le rythme des saynètes est soutenu. En 2020, faire rire en mimant un infanticide ou un féminicide, c’est quand même couillu. Le Patronyme procure quelques équivoques à la Devos mais l’auteur ne s’est pas cassé les dents à user de jeux de mots redondants. Les fréquents apartés contrebalancent avec malice la tendance schizophrénique de son clown, évitant le basculement dans un propos philosophique dogmatique.”
Si l’extrait de la critique de Manzi ne t’a pas complètement conquis, la suite est ICI.
SI t’es de suite emballé, t’as plus qu’à réserver.