Chorégraphie, son et lumière recréés à chaque représentation.
Le deuxième volet poursuit l’expérimentation: Élégie pour un fuyard explore la tension-attraction entre le chorégraphe et les interprètes, les créateurs son et lumières, et la résultante, la co-création. On sent un éloge de la fugue - ou de l’amour, force physique pour composer avec un ensemble de corps, un écho à la plus poétique des théories d’Einstein, l’intrication quantique: «...deux particules, même extrêmement éloignées l’une de l’autre, au moment où vous modifiez l’état de la première, quel que soit l’endroit où se trouve l’autre, son état se trouve instantanément et également affecté».