« Si Pina m’avait demandé... » interroge tout autant l’âpreté du quotidien d’une mère célibataire que les rouages de la création de la chorégraphe, s’en amuse et s’en étonne, se console et nous console. Telle une chanson de karaoké qui reste dans la tête, une chaise sur laquelle on se cogne sans cesse ou une cigarette que l’on fume dans la pénombre, revient cette lancinante question : pourquoi se donne-t-on tant de mal ?
[Durée : 1h16 /2 danseur.euses/À partir de 13 ans]