Pour les nostalgiques des Électrodocks ou les amateurs de friches industrielles , voici le lieu qu’il faut à tout prix visiter si on veut un peu se la péter. Après le bobo post-berlinois, découvrez le hipster portois. Seul le musée Stella Matutina peut rivaliser en terme de surface d’exposition et de tribut historique mais le Hangar D2 se distingue par une sélection d’artistes qu’on pourrait qualifier d’ underground.. Vast, vous connaissez forcément, tant cet artiste issu du street art multiplie les fresques en extérieur. À tel point que de nombreuses marques réunionnaises (Fischer, Pardon, Midas) ont fait appel à ses services pour dynamiter leur identité visuelle. Dans les pas d’un Jace, il alterne commandes lucratives et fresques intuitives avec un univers archi coloré et géométrique, dont le regard premièrement saturé invite à une observation plus détaillée.
IMPORTANT: Un quota maxi de 30 personnes est imposé dans le hangar D2 alors, pour s’inscrire gratuitement à un créneau, cliquez sur RÉSERVER