Pak N’Djamena est un chorégraphe mozambicain qui propose une œuvre de danse contemporaine travaillée par des mouvements interrogatoires, en allers-retours centripètes et centrifuges, du local au global, de la matrice culturelle à la société de consommation. Quelle place pour le corps aujourd’hui ? Dans une société qui a été imprégnée par le rapport de domination : religion sécularisée, croyances, divinités, rituels, mythes, etc…
Comment ces héritages traversants jusqu’aux actes du quotidien se fragmentent-ils et peuvent être utilisés comme l’une des stratégies de contrôle social, affectant directement la façon dont on va normaliser les êtres et une société dans son ensemble?