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DELPHINE HELOD : KOMKIFO

avez-vous que la fausse sépulture créée en l'honneur du pirate La Buse est née d'une profanation ? Il s'agissait à l'origine de la pierre tombale de Delphine Hélod, une esclave affranchie au milieu de l'année 1835 par la famille Mallac (et donc flanquée d'un patronyme commençant par H). Sous l'impulsion du professeur Prosper Eve, son épitaphe a été réhabilité en 2018 au cimetière marin de Saint-Paul. C'est ce même Prosper Eve que l'on retrouve à la scénographie de cette grande soirée poétique mêlant le fonnkèr, la danse et le chant sur des compositions de Christine Salem, pour célébrer la mémoire de cette femme et son combat pour la liberté