Elle donne asile à différents âges, elle les réconcilie, d’abord en elle…. Elle ourle le temps, à la lisière du passé, du présent, du futur.
"T’as passé l’âge des enfantillages, T’as plus l’âge de prendre la main de ton père
T’as l’âge de t’asseoir par terre, de regarder le ciel T’as l’âge de tout, t’as l’âge de rien, t’as l’âge de toi".
Elle est imprévisible.