Ici on parle de sujets sensibles, de liberté, d’identité. “No man’s land” est un endroit où tout peut arriver. L’Eden, le vide, le no puis l’oubli.
Une liaison qui se vit dans un interstice.
Un circuit de train électrique sert de cercle magique à l’espace de jeu au rythme des cycles de la locomotive. Au centre, mais aussi nulle part, un couple d’exilés en errance, déroule son parcours accidenté.
Autant de mouvements du corps en marche repris en boucle, à bout de souffle, pour continuer de vivre...
L’Eden fantasmé est celui de ce couple de vagabonds.
Composition musicale : Labelle